
« Quand les autres parlaient d’aide, lui a dégainé du cash. Pendant que certains vous enchaînent avec des prêts, lui voulait vous libérer avec un satellite. »
L’ESCLAVAGE MODERNE NE SE FAIT PLUS AVEC DES CHAÎNES. MAIS AVEC DES ONDES.
Tu ne peux pas développer un continent sans contrôle sur sa communication. Tu ne peux pas parler de souveraineté, pendant que ta voix, ton internet, tes appels, tes données passent par le satellite d’un autre continent. Et c’est ce qu’on vivait en Afrique jusqu’en 2007. On louait les satellites occidentaux pour communiquer… comme un mendiant qui paie l’entrée pour vivre dans sa propre maison.
Résultat ?
Environ 500 millions de dollars/an (environ 300 milliards de FCFA/an) sortaient d’Afrique pour payer des capacités satellites à l’Europe et aux États-Unis. 500 MILLIONS chaque année, sans retour d’investissement. Un vol à ciel ouvert. !
L’IDÉE RÉVOLUTIONNAIRE : UN SATELLITE POUR L’AFRIQUE, PAR LES AFRICAINS
Dès 1992, un groupe de 45 pays africains lance le projet RASCOM – un satellite panafricain pour couvrir les besoins en téléphonie, internet, télémédecine, télévision, etc. Une idée géniale, mais une exécution bloquée… parce que personne ne voulait nous financer : La Banque Mondiale a refusé, Le FMI a refusé, L’Europe a dit non, Les États-Unis ont souri… et dit NON. Pourquoi ? Parce que l’indépendance africaine ne les arrange pas. Tant qu’on est clients, ils encaissent. Mais si on devient fournisseurs… ils paniquent.

L’ENTRÉE EN SCÈNE de MUAMMAR KADHAFI
Pendant que les grands discours faisaient dormir les chefs d’État, un homme a sorti son chéquier. Le président libyen, Mouammar Kadhafi, a injecté 300 millions de dollars (environ 180 milliards de FCFA) dans le projet. Il ne voulait pas « aider l’Afrique » comme le disent les ONG. Il voulait libérer l’Afrique. Pas avec de la farine. Pas avec du riz. Mais avec un satellite.
Coût total du projet RASCOM : 400 millions de dollars (environ 240 milliards de FCFA) dont la Libye (Kadhafi) : 300 M$ (75%), la Banque Africaine de Développement (BAD) : 50 M$, la BOAD (Banque Ouest-Africaine) : 27 M$. L’Afrique allait enfin lancer son propre satellite, sans mendier, sans supplier. Un satellite africain, pour les Africains.
LE LANCEMENT : 22 DÉCEMBRE 2007
RASCOM-QAF 1 est lancé depuis Kourou (Guyane) via Ariane 5, un satellite télécoms qui devait couvrir tout le continent. Ce jour-là, l’Afrique a touché les étoiles. On venait de rompre une dépendance vieille de 50 ans. Mais comme dans tous les films où le héros veut libérer les siens… un « accident » arrive.
PROBLÈME TECHNIQUE OU SABOTAGE ?
Peu après le lancement, une fuite d’hélium est détectée. Résultat ? Le satellite perd en autonomie, sa durée de vie est raccourcie. Est-ce un problème technique ? Un défaut volontaire ? Un sabotage discret ? On ne saura peut-être jamais. Mais une chose est sûre : Quand un Africain essaie de se libérer, les chaînes deviennent invisibles… mais plus dangereuses.

LE COUP DE GÉNIE ÉCONOMIQUE
Même avec cet incident, le satellite fonctionne et génère des économies pour le continent : 500 M$/an que l’Afrique ne paie plus à l’Occident, Investissement de 400 M$ payé une fois, Retour sur investissement : en moins de 12 mois, Gain net : minimum 100 millions de dollars/an, Soit 60 milliards de FCFA/an
POURQUOI PERSONNE N’EN PARLE ?
Parce que ça gêne. Kadhafi a prouvé par cet acte que l’Afrique peut se financer seule, s’unir, et sortir de l’esclavage économique. Mais quelques années plus tard, il est assassiné. On t’a dit que c’était à cause des droits de l’homme. Mais on ne t’a pas dit que c’était à cause de ses projets d’indépendance financière et technologique ; il voulait lancer un dinar-or africain. Il finançait des banques panafricaines. Il libérait la communication spatiale.
Et il a été… « démocratiquement supprimé. » Pour maintenir son nom vivant et imprimer son nom dans la tête des générations à venir, nous devrions nommé nos entreprises, organisation , services KADHAFI . Moi? Je le fais déjà
MA CONCLUSION : UNE BOMBE DANS TA CONSCIENCE
Aujourd’hui encore, l’Afrique continue de mendier alors qu’elle a des génies, des idées, des ressources. On ne manque pas d’intelligence. On manque de courage collectif et de stratégie souveraine. Alors pourquoi l’Afrique attend encore l’aide au développement, alors qu’un seul homme a fait en 1 acte ce que 54 États n’ont pas osé en 20 ans ?
Si tu fais partie de ceux qui croient que l’Afrique peut s’auto-financer, s’auto-diriger, s’auto-transformer… partage cette vérité. Fais-la tourner,qu’elle devienne virale, qu’elle explose les silences, parce que la bombe ne tombe plus du ciel. Elle explose maintenant dans les cerveaux. Kadhafi n’est plus là mais toi et moi pouvons remplacer Kadhafi et cette fois-ci ils ne sauront plus qui tué parce qu’on serait déjà plus nombreux que eux. Tant qu’il y aura des mensonges, je viendrai avec des bombes de vérités.
Analyste Géopolitique « Décryptage: les Grandes Oreilles

Neuf ans après sa mort, le message de Kadhafi aux Libyens, commence à sonner autrement :
« Je ne m’exilerai dans aucun pays étranger. Je suis né ici en Libye et je mourrai ici. Ce pays était un désert et je l’ai transformé en une forêt où tout peut pousser. Personne n’aime cette terre plus que ses citoyens. Si l’Europe et l’Amérique vous disent qu’ils vous aiment, soyez prudents. Ils aiment la richesse de votre pays, le pétrole et pas les gens. Ils vous aident à lutter contre moi, mais il sera plus sage de vous battre contre eux car ils luttent contre votre avenir et votre progrès.»
« Le message que j’adresse à vous, la population libyenne, est que s’ils vous aident à me tuer, vous en paierez le prix parce que vous allez souffrir. Et mon message à vous, l’Amérique et l’Europe, est : Vous allez me tuer, mais soyez prêts à lutter contre un terrorisme sans fin. Avant que vous ne réalisiez votre ignorance, des terroristes vous frapperont à votre porte.»
Citons 16 acquis certains du peuple libyens sous « la dictature de Kadhafi »:
– Il n’y a pas de facture d’électricité en Libye, l’électricité est gratuite pour tous les citoyens.
– Il n’y a aucun intérêt sur les prêts, les banques en Libye appartiennent à l’État et les prêts accordés à tous ses citoyens sont légalement à 0% d’intérêt.
– Le pays d’origine est considéré comme un droit humain en Libye. Kadhafi a juré que ses parents ne trouveraient pas de maison avant que tout le monde en Libye ait un domicile.
– Tous les mariés en Libye reçoivent 60 000 dinars du gouvernement pour l’achat de leur premier appartement.
– L’éducation et les traitements médicaux sont gratuits en Libye. Avant Kadhafi, seuls 25% des Libyens étaient alphabétisés. Aujourd’hui, le chiffre s’élève à 83%.
– Les Libyens ayant commencé leur carrière dans l’agriculture recevaient gratuitement des terres agricoles, une maison de ferme, du matériel, des semences et du bétail pour démarrer leurs exploitations.
– Si les Libyens ne peuvent pas trouver l’éducation ou les installations médicales dont ils ont besoin en Libye, le gouvernement les finance pour qu’ils aillent à l’étranger.
– Dans la Libye de Kadhafi, si un Libyen achète une voiture, le gouvernement subventionne 50% du prix.
– Le prix de l’essence en Libye est de 0,14 $ par litre.
-La Libye n’a pas de dette extérieure et ses réserves s’élèvent à 150 milliards de dollars, maintenant gelées à l’échelle mondiale.
-Si un Libyen est incapable d’obtenir un emploi après l’obtention de son diplôme, l’État paierait le salaire moyen de la profession comme s’il était employé jusqu’à ce qu’il trouve un boulot.
– Une partie des ventes de pétrole libyen est directement créditée sur les comptes bancaires de tous les citoyens libyens.
– Une mère qui a donné naissance à un enfant sous Kadhafi reçoit 5 000 USD au titre d’allocations familiales.
– En Libye, 40 baguettes de pain coûtent 0,15 dollar.
-25% des Libyens ont un diplôme universitaire.
